stade 1

samedi 26 octobre 2013

Quels sont les ennemis des forets?

les ennemis des forets sont:
1. Insectes Le forestier craint des insectes ravageurs tels la chenille  processionnaire du pin, celle du chêne, certains xylophages, des bactéries ou des champignons. Les attaques qui prennent l'apparence d'épidémies et de pullulations suivent généralement un affaiblissement des arbres dû à des évènements de  type sécheresse, tempête, pollution, drainage, fragmentation, etc.
2. Pollution génétique La biodiversité forestière peut aussi être menacée par des essences introduites qui peuvent devenir invasive ou poser des problèmes de pollution génétique et/ou d'allopathie
3. Les mammifères Des mammifères rongeurs, les lapins et des espèces-gibier sont localement considérés comme "nuisibles" par les forestiers parce qu'ils broutent les jeunes pousses et rongent les écorces. En forêt méditerranéenne, les moutons et surtout les chèvres sont des ennemis redoutables des arbres
4. L’Homme D'un point de vue historique, l'Homme a eu une relation ambiguë à la forêt et notamment à la forêt primaire, et souvent destructeur en zone tempérée européenne, a asiatique et au Moyen-Orient ou en Australie, depuis plusieurs milliers d'années.
5. La sécheresse Les périodes de sécheresse,  peuvent provoquer le dessèchement des feuilles qui tombent alors prématurément. On peut constater aussi des brûlures de l'écorce exposée au soleil
6. Incendies et Feux de forêt
Ils sont le plus souvent allumés par l'homme, volontairement ou involontairement (négligence).
Prenant des proportions catastrophiques dans certaines régions (notamment autour de la Méditerranée), ils conduisent à la mise en place de moyens de lutte très importants, dont l'efficacité est variable.
Toutes les essences forestières sont combustibles, mais certaines riches en produits volatils favorisent le combustion et l'extension de l'incendie, d'autres résistent mieux (grâce à des phénomènes de protection comme la création de liège), ou se régénèrent plus vite. asciatique et au Moyen-Orient ou en Australie, depuis plusieurs milliers d'années.
104 millions d'hectares de forêts ont été annuellement ravagés par des incendies, des insectes et maladies, des sécheresses, tempêtes, grands froids ou inondations.
7. La pollution
Les polluants liés à l'activité humaine sont nombreux : anhydride sulfureux (SO2) qui provoque les fameuses « pluies acides » auxquelles fut attribué le dépérissement des forêts constaté en Europe dans les années 1970-80,
 Les pesticides véhiculés par l'air et/ou solubilisés par les pluies, les oxydes d'azote (Nox), l'acide fluorhydrique (HF), émis localement par certaines industries, les particules émises par la combustion du charbon et des carburants pétroliers, l'ozone (O3)…
 Par ailleurs les mousses et les lichens piègent très efficacement les particules de l'air, dont ils se nourrissent. Par ce biais, ils fixent aussi les métaux lourds de plus en plus présents dans l'air, ainsi que d'autres polluants (au point d'en mourir parfois, ce qui en fait, selon la sensibilité de espèces de bons bio-indicateurs).
5. La sécheresse Les périodes de sécheresse,  peuvent provoquer le dessèchement des feuilles qui tombent alors prématurément. On peut constater aussi des brûlures de l'écorce exposée au soleil
  6. Incendies et Feux de forêt
Ils sont le plus souvent allumés par l'homme, volontairement ou involontairement (négligence).
Prenant des proportions catastrophiques dans certaines régions (notamment autour de la Méditerranée), ils conduisent à la mise en place de moyens de lutte très importants, dont l'efficacité est variable.
Toutes les essences forestières sont combustibles, mais certaines riches en produits volatils favorisent le combustion et l'extension de l'incendie, d'autres résistent mieux (grâce à des phénomènes de protection comme la création de liège), ou se régénèrent plus vite.
104 millions d'hectares de forêts ont été annuellement ravagés par des incendies, des insectes et maladies, des sécheresses, tempêtes, grands froids ou inondations
Les champignons qui font la richesse du sol forestier se montrent également capable de bio-concentrer de nombreux polluants (métaux lourds dont plomb, cadmium et mercure, mais aussi radionucléides, qui peuvent ensuite être concentrés par la chaîne alimentaire).
Les champignons qui font la richesse du sol forestier se montrent également capable de bio-concentrer de nombreux polluants (métaux lourds dont plomb, cadmium et mercure, mais aussi radionucléides, qui peuvent ensuite être concentrés par la chaîne alimentaire).
Dans certains pays, des boues de station d'épuration sont régulièrement dispersées en forêts, parfois sous forme de pulvérisation, ce qui peut contribuer à la dispersion de certains contaminants.
Avec les premières expérimentations d’arbres OGM (peupliers essentiellement, testés par exemple en France et au Canada en milieu non-confinés), certains craignent une pollution génétique en cas de transmission du gène, ou un impact sur la faune et le sol forestier
Dans certains pays, des boues de station d'épuration sont régulièrement dispersées en forêts, parfois sous forme de pulvérisation, ce qui peut contribuer à la dispersion de certains contaminants.
Avec les premières expérimentations d’arbres OGM (peupliers essentiellement, testés par exemple en France et au Canada en milieu non-confinés), certains craignent une pollution génétique en cas de transmission du gène, ou un impact sur la faune et le sol forestier
L’industrialisation entraîne des changements radicaux  dans l’utilisation des forêts, la priorité allant à la  production de matières premières (y compris bois,  cultures industrielles, énergie et minéraux), alors  que la demande se déplaçait des essences feuillues (combustible et fourrage pour les animaux) vers  les essences résineuses (pour la construction et  la fabrication de papier).
Les  conflits liés à l’utilisation des forêts sont apparus, lorsque  différents segments de la société – pré agraire, agraire, industrielle et postindustrielle – utilisent les mêmes forêts  pour satisfaire des besoins divergents
TRANSFORMATION PAR L’AGRICULTURE
Des facteurs comme les cultures, ont contribué, dans une large mesure, à accélérer la déforestation.
La déforestation due à la conversion en terres agricoles a toutefois  eu un effet  secondaire non désiré: la réduction des  approvisionnements en bois et la hausse des prix du bois, qui sont arrivés à la hauteur de ceux des  métaux  précieux
Les pratiques agricoles  erronées et le pâturage incontrôlé sur d’anciennes terres  forestières ont fréquemment entraîné l’érosion du sol, la  perte de fertilité et finalement la désertification. 80 % de l'expansion des zones agricoles tropicales entre 1980-2000 s'est faite au dépend des zones forestières, ce qui a effectivement bien constituée un facteur majeur de déforestation
La zone agricole totale a augmenté de 629 millions d'hectares (ha) dans les pays en voie de développement dans les années 89 et 90
Nous observons des tensions grandissantes entre le développement des cultures alimentaires, pâturages et le maintien des forêts 
En Afrique ; Près de 60% des nouvelles terres agricoles proviennent de forêts intactes, plus 35% issues de forêts détériorées.

L'Asie du Sud a développé 60% de ces nouvelles terres agricoles sur des forêts intactes et plus de 30% sur des forêts détériorées.