les ennemis des forets sont:
1. Insectes Le forestier craint des
insectes ravageurs tels la chenille
processionnaire du pin, celle du chêne, certains xylophages, des
bactéries ou des champignons. Les attaques qui prennent l'apparence d'épidémies
et de pullulations suivent généralement un affaiblissement des arbres dû à des
évènements de type sécheresse, tempête,
pollution, drainage, fragmentation, etc.
2. Pollution génétique La
biodiversité forestière peut aussi être menacée par des essences introduites
qui peuvent devenir invasive ou poser des problèmes de pollution génétique
et/ou d'allopathie
3. Les mammifères Des mammifères
rongeurs, les lapins et des espèces-gibier sont localement considérés comme
"nuisibles" par les forestiers parce qu'ils broutent les jeunes pousses
et rongent les écorces. En forêt méditerranéenne, les moutons et surtout les
chèvres sont des ennemis redoutables des arbres
4. L’Homme D'un point de vue
historique, l'Homme a eu une relation ambiguë à la forêt et notamment à la
forêt primaire, et souvent destructeur en zone tempérée européenne, a asiatique
et au Moyen-Orient ou en Australie, depuis plusieurs milliers d'années.
5. La sécheresse Les périodes de
sécheresse, peuvent provoquer le
dessèchement des feuilles qui tombent alors prématurément. On peut constater
aussi des brûlures de l'écorce exposée au soleil
6. Incendies et Feux de forêt
Ils sont le plus souvent allumés par
l'homme, volontairement ou involontairement (négligence).
Prenant des proportions
catastrophiques dans certaines régions (notamment autour de la Méditerranée),
ils conduisent à la mise en place de moyens de lutte très importants, dont
l'efficacité est variable.
Toutes les essences forestières sont
combustibles, mais certaines riches en produits volatils favorisent le combustion
et l'extension de l'incendie, d'autres résistent mieux (grâce à des phénomènes
de protection comme la création de liège), ou se régénèrent plus vite. asciatique
et au Moyen-Orient ou en Australie, depuis plusieurs milliers d'années.
104 millions d'hectares de forêts ont
été annuellement ravagés par des incendies, des insectes et maladies, des
sécheresses, tempêtes, grands froids ou inondations.
7. La pollution
Les polluants liés à l'activité
humaine sont nombreux : anhydride sulfureux (SO2) qui provoque les fameuses «
pluies acides » auxquelles fut attribué le dépérissement des forêts constaté en
Europe dans les années 1970-80,
Les pesticides véhiculés par l'air et/ou
solubilisés par les pluies, les oxydes d'azote (Nox), l'acide fluorhydrique
(HF), émis localement par certaines industries, les particules émises par la
combustion du charbon et des carburants pétroliers, l'ozone (O3)…
Par ailleurs les mousses et les lichens
piègent très efficacement les particules de l'air, dont ils se nourrissent. Par
ce biais, ils fixent aussi les métaux lourds de plus en plus présents dans
l'air, ainsi que d'autres polluants (au point d'en mourir parfois, ce qui en
fait, selon la sensibilité de espèces de bons bio-indicateurs).
5. La sécheresse Les périodes de
sécheresse, peuvent provoquer le
dessèchement des feuilles qui tombent alors prématurément. On peut constater
aussi des brûlures de l'écorce exposée au soleil
6. Incendies et Feux de forêt
Ils sont le plus souvent allumés par
l'homme, volontairement ou involontairement (négligence).
Prenant des proportions
catastrophiques dans certaines régions (notamment autour de la Méditerranée),
ils conduisent à la mise en place de moyens de lutte très importants, dont
l'efficacité est variable.
Toutes les essences forestières sont
combustibles, mais certaines riches en produits volatils favorisent le
combustion et l'extension de l'incendie, d'autres résistent mieux (grâce à des
phénomènes de protection comme la création de liège), ou se régénèrent plus
vite.
104 millions d'hectares de forêts ont
été annuellement ravagés par des incendies, des insectes et maladies, des
sécheresses, tempêtes, grands froids ou inondations
Les champignons qui font la richesse
du sol forestier se montrent également capable de bio-concentrer de nombreux
polluants (métaux lourds dont plomb, cadmium et mercure, mais aussi
radionucléides, qui peuvent ensuite être concentrés par la chaîne alimentaire).
Les champignons qui font la richesse
du sol forestier se montrent également capable de bio-concentrer de nombreux
polluants (métaux lourds dont plomb, cadmium et mercure, mais aussi
radionucléides, qui peuvent ensuite être concentrés par la chaîne alimentaire).
Dans certains pays, des boues de
station d'épuration sont régulièrement dispersées en forêts, parfois sous forme
de pulvérisation, ce qui peut contribuer à la dispersion de certains
contaminants.
Avec les premières expérimentations
d’arbres OGM (peupliers essentiellement, testés par exemple en France et au
Canada en milieu non-confinés), certains craignent une pollution génétique en
cas de transmission du gène, ou un impact sur la faune et le sol forestier
Dans certains pays, des boues de
station d'épuration sont régulièrement dispersées en forêts, parfois sous forme
de pulvérisation, ce qui peut contribuer à la dispersion de certains
contaminants.
Avec les premières expérimentations
d’arbres OGM (peupliers essentiellement, testés par exemple en France et au
Canada en milieu non-confinés), certains craignent une pollution génétique en
cas de transmission du gène, ou un impact sur la faune et le sol forestier
L’industrialisation entraîne des
changements radicaux dans l’utilisation
des forêts, la priorité allant à la
production de matières premières (y compris bois, cultures industrielles, énergie et minéraux),
alors que la demande se déplaçait des
essences feuillues (combustible et fourrage pour les animaux) vers les essences résineuses (pour la construction
et la fabrication de papier).
Les
conflits liés à l’utilisation des forêts sont apparus, lorsque différents segments de la société – pré
agraire, agraire, industrielle et postindustrielle – utilisent les mêmes
forêts pour satisfaire des besoins
divergents
TRANSFORMATION PAR L’AGRICULTURE
Des facteurs comme les cultures, ont
contribué, dans une large mesure, à accélérer la déforestation.
La déforestation due à la conversion
en terres agricoles a toutefois eu un
effet secondaire non désiré: la
réduction des approvisionnements en bois
et la hausse des prix du bois, qui sont arrivés à la hauteur de ceux des métaux
précieux
Les pratiques agricoles erronées et le pâturage incontrôlé sur
d’anciennes terres forestières ont
fréquemment entraîné l’érosion du sol, la
perte de fertilité et finalement la désertification. 80 % de l'expansion
des zones agricoles tropicales entre 1980-2000 s'est faite au dépend des zones
forestières, ce qui a effectivement bien constituée un facteur majeur de
déforestation
La zone agricole totale a augmenté de
629 millions d'hectares (ha) dans les pays en voie de développement dans les
années 89 et 90
Nous observons des tensions
grandissantes entre le développement des cultures alimentaires, pâturages et le
maintien des forêts
En Afrique ; Près de 60% des
nouvelles terres agricoles proviennent de forêts intactes, plus 35% issues de
forêts détériorées.
L'Asie du Sud a développé 60% de ces
nouvelles terres agricoles sur des forêts intactes et plus de 30% sur des
forêts détériorées.