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lundi 8 octobre 2018

Pourquoi ne pas dormir avec un ventilo dans la chambre?

Pourquoi vous ne devriez pas dormir avec un ventilo dans la chambre?
Quand il fait chaud, on aime dormir au frais. Pour cela, le ventilateur devient notre meilleur ami, même dans notre chambre à coucher. Pourtant, dormir toute la nuit avec un ventilo en route pourrait avoir des effets néfastes sur votre santé.
On le sait, c'est la canicule. Pour tenir le coup, on squatte les lieux climatisés, on évite le métro, on boit beaucoup d'eau et notre ventilateur est devenu notre meilleur ami. À tel point qu'on l'emporte partout, en particulier dans notre chambre pour dormir ou faire une sieste.
Il faut dire qu'avec la chaleur actuelle, il est compliqué de trouver le sommeil. Cependant, il semblerait que faire fonctionner un ventilo toute la nuit dans la chambre ne soit pas vraiment une bonne idée.
Dormir avec un ventilo : quels sont les risques ?
Sur le site dédié au sommeil Sleep Advisor, l'expert du sommeil Mark Reddick explique qu'il y a la fois des avantages et des inconvénients à dormir avec un ventilateur allumé. Si un ventilateur permettrait de conserver une bonne température ambiante, d'avoir une bonne circulation de l'air, il pourrait aussi être très dangereux pour votre santé.
"À chaque fois que vous allumez votre ventilateur, toute la poussière et les particules qui se sont posées sur ses lames vont voler dans les airs", indique le spécialiste au site Indy 100. Dormir avec un ventilateur pourrait ainsi vous causer de fortes réactions allergiques, à cause de la poussière ou du pollen qui pénétreraient vos sinus. Les personnes souffrant d'allergies, d'asthme ou de rhume des foins devront donc absolument éviter de s'endormir avec un ventilo dans leur chambre.
L'air sec que les ventilateurs produisent peut aussi causer de sacrés désagréments. Il dessèche votre peau, votre gorge et provoque généralement une irritation de vos yeux. Toutes vos muqueuses et les passages nasaux peuvent se retrouver impacter par une sécheresse à cause de l'air sec. Vous allez sûrement souffrir de toux.
"La diffusion constante d'air sec pourrait affecter vos sinus. Si la sécheresse est vraiment extrême, votre corps pourrait alors produire plus de mucus pour essayer de les soulager. Vous allez ainsi vous retrouver avec le nez bouché et des maux de tête", déplore Mark Reddick.
Comment rafraîchir sa chambre sans ventilateur ?
Pour éviter de suer toute la nuit sans pour autant recourir à l'utilisation d'un ventilateur, il existe des astuces toutes simples pour se rafraîchir.
Évitez d'ouvrir vos volets de votre chambre et laissez la fenêtre ouverte, pour empêcher le soleil de rentrer mais favoriser l'air qui passe. Dans votre lit, privilégiez le linge en coton, qui reste frais toute la nuit.
Avant d'aller dormir, buvez beaucoup d'eau fraîche et éliminer l'alcool ou la caféine. Et surtout, optez pour une bonne douche froide avant de vous glisser dans votre lit. Vous pouvez également conserver un brumisateur au réfrigérateur toute la journée et le placer sur votre table de chevet, pour éviter les coups de chaud durant la nuit.

dimanche 7 octobre 2018

La consommation d'Aloe vera pourrait être dangereuse pour la santé

La consommation d'Aloe vera pourrait être dangereuse pour la santé

Si la plante d'Aloe vera est réputée pour ses nombreux bienfaits pour notre peau, elle pourrait cependant être dangereuse pour notre santé, si elle consommée via des feuilles fraîches. En effet, celles-ci contiendrait des sécrétions de latex.

Certes, les vertus de l'Aloe vera ne manquent pas. Cette plante grasse est reconnue pour les bienfaits de son gel, présent dans ses larges feuilles. Utilisé dans les soins de beauté ou dans certains médicaments, il permet notamment de nourrir et d'hydrater la peau, d'apaiser les épidermes irrités et de les protéger.

Pourtant, l'utilisation de feuilles fraîches de cette plante ne serait pas sans danger, comme l'expliquent la Direction générale de la Santé (DGS) et la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) dans un communiqué de presse paru jeudi 02 août. Ils indiquent également les précautions à prendre lors de la consommation de cette plante.

L'Aloe vera aurait un effet laxatif

"La partie externe de la feuille d'Aloe vera secrète un liquide de couleur jaune (appelé latex) riche en dérivés hydroxyanthracéniques, des molécules qui ont un effet laxatif très puissant et qui sont à l'origine de multiples effets indésirables largement documentés", révèlent la DGS et la DGCCRF, qui associent notamment les feuilles d'Aloe vera à de forts maux de ventres et à des diarrhées violentes.

De plus, en janvier 2018, l'Agence européenne de sécurité des aliments (AESA) avait indiqué que les dérivés hydroxyanthracéniques pouvaient être cancérigènes et possiblement endommager l'ADN s'ils étaient consommés.

Aloe vera : une utilisation mal contrôlée

Cependant, lorsque les feuilles fraîches sont proposées à la vente, pour que les consommateurs puisent les cuisiner eux-mêmes, les modes de préparation "conseillés sur les emballages ou sur les nombreux sites Internet proposant des recettes à base d'Aloe vera oublient le plus souvent de rappeler les risques liés à la consommation du latex et n'expliquent pas comment s'en débarrasser", indiquent la DGS et la DGCCRF.

Les deux organismes gouvernementaux précisent également avoir saisi l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES) pour évaluer les risques associés. En attendant, ils recommandent d'éliminer toute trace de latex de d'Aloe vera, en enlevant la partie externe des feuilles.

L'aloe vera déconseillée aux femmes enceintes

Seul le mucilage, c'est-à-dire le gel transparent présent dans le centre de la feuille, serait sans danger pour notre organisme.

Le communiqué met également en garde en conseillant d'éviter la consommation d'Aloe vera fraîche par les femmes enceintes et allaitantes, les enfants et les personnes fragiles, en attendant l'évaluation des risques de cette plante.



Les meilleures pratiques pour s'hydrater. lors de la canicule

Canicule : est-ce une bonne idée de se désaltérer avec des boissons glacées ?
L'Hexagone entame sa deuxième semaine de canicule. On ne le dira jamais assez : l'hydratation est primordiale pour survivre à ces vagues de chaleur. Mais faut-il boire un verre d'eau glacé ou une tasse fumante de thé ? On fait le point sur les meilleures pratiques pour s'hydrater.
Alors que la chaleur s'est installée dans l'Hexagone il y a déjà plusieurs semaines, les températures vont encore augmenter avant la fin de la canicule, puisque les prévisions annoncent un thermomètre proche de 40 degrés sur la moitié de la France (Centre et Est) ce mardi 7 août.
Pour se protéger au mieux des effets de la canicule, il est nécessaire de bien s'hydrater et de boire de l'eau tout au long de la journée. Mais alors qu'on rêve généralement d'un bon thé glacé ou d'un verre d'eau bien frais, cela ne signifie pas par autant qu'il s'agit du meilleur moyen de se désaltérer. Explications.
Boire trop froid ne rafraîchit pas le corps
Lorsque l'on consomme une boisson très froide, notre corps ralentit le mécanisme de sudation, ce qui fait que nous transpirons moins et de ce fait nous empêche d'évacuer correctement la chaleur emmagasinée. En outre, nos organes internes vont consommer de l'énergie pour réchauffer la température de la boisson ingurgitée et, in fine, réchauffer la température de notre corps. Ce phénomène explique notamment pourquoi nous éprouvons une sensation instantanée de bien-être quand on se jette sur les glaçons, mais également pourquoi on a de nouveau très soif peu de temps après.
Boire trop chaud : gare à la déshydratation
Si les boissons glacées ne sont pas l'idéal pour se rafraîchir, on pourrait donc être tenté·e d'imiter les habitants du Maghreb qui n'hésitent pas à se servir de généreuses quantités de thé à la menthe, même quand le thermomètre affiche 40 degrés. Consommer une boisson chaude en plein été va effectivement permettre d'accélérer la sudation et donc éliminer la chaleur de notre corps.
Une bonne nouvelle pour les amateurs de thé, mais à condition qu'ils s'hydratent correctement. En effet, une boisson très chaude va certes vous faire transpirer, mais vous allez du même coup perdre vos réserves d'eau et vous risquerez dangereusement de vous déshydrater.
Comme souvent, la solution consiste à trouver un entre-deux : ni trop froid, ni trop chaud. Selon les experts de santé, la température idéale se situerait entre 12 et 14 degrés. Autrement dit plutôt frais, mais sans glaçons. Et bien sûr, l'eau reste la boisson la plus recommandée en période de canicule, à l'inverse de l'alcool et des boissons sucrées type sodas qui favorisent la déshydratation.

C'est quoi une cystite de lune de miel ?

C'est quoi une cystite de lune de miel ?
Il existe différents types d'infection urinaire, mais connaissez-vous la "cystite de lune de miel" ? Cette inflammation est bénigne, mais bien spécifique. Voici tout ce que vous devez savoir sur cette infection urinaire et surtout, comment l'éviter.
Non, cette infection urinaire n'a rien à voir avec le mariage et vous n'avez pas besoin de porter une alliance pour en souffrir. Parmi les diverses infections urinaires existantes, la cystite dite "de lune de miel" est un mal bénin, bien souvent causé par des rapports sexuels très fréquents.
D'où son nom de cystite de lune de miel, puisqu'elle apparaît généralement au début d'une relation amoureuse, lorsqu'on fait très souvent l'amour. "Au début de relation ou durant une lune de miel, un couple aura de nombreux rapports sexuels, souvent très rapprochés dans le temps", explique Judith Reichman, gynécologue.
C'est quoi une cystite de lune de miel ?
Cette infection urinaire est une inflammation des parois de la vessie, mais qui n'est pas sexuellement transmissible. Elle est causée par une bactérie déjà présente dans l'organisme, le plus souvent dans l'anus.
Lors d'un rapport sexuel, ces germes peuvent se retrouver à l'entrée de notre vagin et donc vers notre urètre qui se trouve juste à côté.
Et lors de la pénétration, l'urètre s'ouvre plus facilement, facilitant ainsi la remontée des bactéries dans ce canal. Comme l'urètre est très court, les bactéries arrivent facilement à la vessie et l'infectent de cette façon.
Cystite de lune de miel : quels sont les symptômes ?
Les symptômes de cette infection urinaire sont généralement une envie fréquente d'aller uriner, une sensation de forte brûlure et une gêne au niveau du pubis.
Si vous ressentez ce type de symptômes, consultez directement votre gynécologue ou votre médecin. Généralement, un prélèvement d'urine s'avère nécessaire pour identifier les bactéries. Vous pourrez ainsi obtenir un traitement antibiotique pour vous soigner plus rapidement.
Attention, si ce type d'infection urinaire n'est pas dramatique, il peut cependant le devenir s'il n'est pas traité à temps. Ainsi, si vous traînez, en plus de souffrir durant de nombreux jours, la bactérie pourrait aller s'installer dans les reins et vous causer de plus graves problèmes de santé.
Quelle prévention pour la cystite de lune de miel ?
Rassurez-vous, il existe des moyens très simples pour prévenir ce type de cystite et surtout, pour éviter de passer à côté d'une partie de jambes en l'air supplémentaire.
Après chaque rapport sexuel, allez directement aux toilettes. Le simple fait d'uriner pourra éliminer les bactéries de votre vessie ou de votre urètre. Pensez également, durant vos ébats, à bien changer de préservatif ou à nettoyer le sexe de votre partenaire, surtout après une sodomie.
Vous devez également boire régulièrement, pour éliminer les toxines de votre vessie et évitez de contracter une infection urinaire. En dehors de l'eau, le jus de cranberry est reconnu pour apaiser ce type d'inflammation.

Endométriose : un médicament pour soulager la douleur

Endométriose : un médicament pour soulager la douleur approuvée aux États-Unis
Les autorités sanitaires américaines viennent d'autoriser la mise sur le marché d'un médicament contre l'endométriose. Un progrès important pour cette maladie gynécologique qui touche 1 femme sur 10 mais qui reste encore trop méconnue.
La recherche médicale pour la lutte contre l'endométriose avance. Aux États-Unis, la Food and Drug Administration (FDA), équivalent américain de l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) vient d'autoriser la mise sur le marché de L'Orilissa, un médicament composé d'un principe actif, l'élagolix, destiné à atténuer les symptômes de l'endométriose en diminuant la production des hormones responsables de dysménorrhées (règles douloureuses).
Les premiers essais cliniques de ce traitement ont été publiés jeudi 2 août dans la revue médicale The New England Journal of Medicine. D'après l'étude, ce médicament permettrait de réduire considérablement les douleurs pelviennes et menstruelles associées à l'endométriose sur une période de 6 mois, à raison de 2 doses d'élagolix de 200mg par jour.
"Le pourcentage de femmes ayant présenté une réponse clinique à la dysménorrhée était de 46,4 % dans le groupe qui a reçu la plus faible dose d'élagolix, contre 75,8 % dans le groupe recevant la plus forte dose d'élagolix", notent les chercheurs.
Les auteurs de l'étude notent toutefois l'apparition d'effets indésirables de ce traitement administré par cachets, notamment des bouffées de chaleur légères ou modérées, des taux plus élevés de lipides sériques (protéines du plasma sanguin) et des diminutions plus importantes de la densité minérale osseuse.
Une avancée dans la lutte contre l'endométriose
Pour Yasmine Candau, présidente d'EndoFrance, l'autorisation de ce médicament symbolise une avancée encourageante dans la lutte contre l'endométriose, bien que le traitement proposé n'ait rien d'innovant. "C'est toujours une bonne nouvelle de voir que la recherche s'intéresse à cette problématique, mais les avancées ne sont pas suffisantes. Il faut savoir que le premier traitement contre l'endométriose est de prendre la pilule contraceptive en continu (...) Le second est un traitement hormonal par injection. C'est ce dernier que le médicament vise à remplacer. (...) Donc oui, c'est une bonne nouvelle. Mais pas une innovation", explique-t-elle L'endométriose est une maladie gynécologique qui touche environ 180 millions de femmes dans le monde et 3 millions de femmes en France, soit 1 sur 10 en âge de procréer. Découverte en 1860, cette pathologie reste encore trop méconnue : on en parle de plus en plus, mais sa médiatisation reste relativement récente. Les femmes attendent parfois entre 6 et 8 ans avant de se voir diagnostiquées d'endométriose.
Quels traitements contre l'endométriose ?
Il n'existe pas à ce jour aucun traitement pour éradiquer l'endométriose, même si la chirurgie et l'hormonothérapie peuvent endiguer l'évolution de la maladie. Le traitement hormonal consiste à stopper la production d'œstrogènes de l'organisme, au moyen de dispositifs contraceptifs (pilule ou stérilet hormonal) ou d'injections d'hormones de synthèse.
Concernant le traitement chirurgical, deux options sont proposées. La première consiste en une chirurgie dite conservatrice destinée à retirer les excroissances endométriales et qui s'adresse aux femmes soucieuses de ne pas compromettre leurs chances de grossesse. Plus radicale, l'autre possibilité de traitement chirurgical contre l'endométriose est l'hystérectomie, c'est-à-dire l'ablation partielle ou totale de l'utérus.

Une femme réglée s'énervée est une croyance populaire ancrée

Non, les femmes qui ont leurs règles ne sont pas des monstres infréquentables
Affirmer qu'une femme est énervée parce qu'elle a ses règles est une croyance populaire qui reste très ancrée. Mais saviez-vous que les cycles menstruels permettent de développer notre sens de l'empathie et accroissent notre capacité à résister à la peur ? C'est  scientifiquement prouvé.
"Qu'est-ce que tu as à être énervée ? T'as tes règles ou quoi ?" Le mythe qui consiste à dire que toutes les femmes qui ont leurs règles se transforment en une boule de nerf infréquentable est tenace. Encore aujourd'hui, on part du principe que le grand bouleversement hormonal occasionné par les cycles menstruels s'associe automatiquement à des accès de fureur et à une irritabilité.
Comme le rappelle l'historien français Georges Vigarello, auteur du livre La Robe et invité de l'émission Une Bonne tasse d'été ce vendredi 10 août sur France Inter : "Il y a tout un imaginaire autour des règles qui relève du rejet et de l'inquiétude. Il existe un ensemble de fantasmes comme par exemple celui selon lequel lorsqu'une femme qui a ses règles s'approche de certains produits, comme le vin et la mayonnaise, elle les fait tourner (..) Plus profondément, ces croyances révèlent une angoisse du féminin."
"Même aujourd'hui, l'idée que la biologie d'une femme peut embrouiller son cerveau est un élément fondamental de la culture populaire", souligne Zaria Gorvett, autrice d'un article publié le 7 août sur le site de la BBC. Or, la journaliste explique que les règles peuvent également avoir un effet positif sur le cerveau des femmes.
Une plus grande capacité de mémoire
Dans son article, Zaria Gorvett cite les travaux de la psychologue Pauline Makiqui en 2002, a réalisé une étude avec une équipe de scientifiques du Centre de Recherches en Gérontologie de Baltimore (États-Unis), afin de déterminer comment les fluctuations des niveaux d'œstrogènes affectent les capacités des femmes au cours de chaque cycle menstruel.
L'étude a été menée sur un groupe de 16 femmes volontaires. Chaque participante a été soumise à des tests psychologiques à deux reprises : une fois juste après ses règles, lorsque les taux d'œstrogènes et de progestérones étaient faibles, et une fois environ une semaine après l'ovulation, lorsque les taux de ces hormones étaient élevés.
Bien qu'il s'agisse d'une petite étude, les résultats s'avèrent plutôt surprenants. Durant les jours où les participantes avaient plus d'hormones féminines dans leur système, elles étaient beaucoup moins aptes à se repérer dans l'espace, mais leur mémoire était à son plus haut niveau, notamment la faculté à apprendre de nouveaux mots. Quand leurs niveaux hormonaux étaient plus bas (donc après leurs règles), leur capacité à se repérer dans l'espace a été restaurée.
La production d'œstrogènes élevée associée à de plus grandes aptitudes sociales
Toujours selon cette étude, les femmes qui produisent un taux important d'œstrogènes pendant leurs règles auraient également de meilleures aptitudes pour maîtriser leurs émotions, en particulier la peur et la décision de se battre ou de fuir.
Ces étranges phénomènes s'expliquent par une réaction des hormones dans deux zones du cerveau : l'hippocampe et l'amygdale. La première stocke la mémoire, tandis que la seconde gère nos émotions. Curieusement, l'amygdale peut aussi être cruciale pour éviter les bévues de communication, car elle permettrait de développer son sens de l'empathie, et donc se mettre à la place de l'autre.
"Les femmes qui ont la capacité de produire de grandes quantités d'oestrogènes seraient donc plus aptes pour reconnaître la peur et auraient de grandes aptitudes sociales", avance Pauline Maki.
Enfin un argument béton que vous pourrez ressortir à quiconque vous fera une réflexion désagréable sur vos règles.

Combien de calories dans un verre de vin ?

Combien de calories dans un verre de vin ?
Le vin, c'est l'alcool parfait pour un apéro entre amis. On déguste toujours un verre, puis deux, puis trois... et ce, plusieurs fois par semaine. À la fois du mois, le compte est un peu plus conséquent que prévu. Mais au fait, ça fait combien de calories, tous ces verres de vin ?
L'été, c'est la saison des apéros. Avec les journées qui rallongent et les chaleurs estivales, on a tendance à envahir les terrasses le soir venu. Si c'est l'occasion parfaite pour profiter de nos amis, c'est aussi le meilleur moment pour déguster un bon verre de vin. Qu'il soit blanc, rouge ou rosé, on s'imagine bien que notre boisson n'aura rien de diététique.
L'alcool est souvent sucré et fortement calorique. Au point qu'on pourrait la comparer à des hamburgers ou à des friandises. Coach sportif et spécialisé en diététique, ce jeune Anglais de 30 ans poste régulièrement des comparatifs entre différents plats et ingrédients pour déterminer lequel comporte le plus ou le moins de calories. Il a également pour objectif de faire changer les mentalités sur les régimes et sur certains produits alimentaires.
Ainsi, un (grand) verre de vin blanc de 250 ml pourrait contenir 175 calories. Si vous avez l'habitude de sortir plusieurs fois dans la semaine et que vous pouvez deux ou trois verres à chaque fois, à la fin, vous comptabilisez plus de 1225 calories par semaine. Par mois, ce chiffre grimpe donc à 5250 calories.
Attention, personne ne vous empêche de boire vos apéros tranquillement ! Vous devez simplement être consciente que cela équivaut, sur un mois, à 18 cheeseburgers de chez McDonald's ou encore à 26 barres chocolatées de la marque Kit-Kat.
Quelle consommation de verres de vin par semaine ?
Ainsi, si vous cherchez à perdre un peu de poids, les verres de vin sont à proscrire, ou à inclure dans votre apport calorique quotidien voire mensuel. Malheureusement, ils ne remplaceront pas un vrai plat en apport nutritionnel. "Dans la recherche d'une perte de graisse, il faut essayer de comptabiliser un léger déficit calorique. Une consommation quotidienne de vin pourrait alors fausser ou annuler votre calcul calorique", explique le coach en légende de sa photo.
"Ce que ce graphique met en évidence, c'est qu'au fil du temps, les calories s'accumulent et affecte l'ensemble de votre alimentation", ajoute-t-il.
Évidemment, cela ne vous interdit pas de consommer de l'alcool et des verres de vin, du moment que cela reste une consommation contrôlée et avec modération. Si vous souhaitez conserver une hygiène de vie saine sans perdre forcément du poids, le site Pop Sugar recommande de se limiter à cinq verres de vin par semaine.
Attention, ce n'est pas pour ça que vous devez annuler toutes vos sorties de la semaine. En apéro, vous pouvez également opter pour une alternative sans alcool, comme un délicieux mocktail à la pastèque, par exemple. Sinon, rassurez-vous : en France, la majorité des bars servent généralement des verres de 120 ml, soit environ 85 calories.

Combien de sushis peut-on manger par semaine ?

Combien de sushis peut-on manger par semaine ?
Si ça ne tenait qu'à nous, on mangerait des sushis à tous les repas, petit-déjeuner compris. Malheureusement, pour notre santé, il vaudrait mieux se restreindre et respecter une certaine dose par semaine.
Sushis, sashimis, makis, california rolls... On en salive déjà. Si vous êtes une passionnée de la cuisine japonaise, vous devez en consommer souvent. Voire, très souvent. En même temps, on vous comprend, il est tellement facile de se faire livrer son plateau de poissons crus à déguster devant une bonne série Netflix.
"Les sushis, qui sont généralement composés d'algues, de riz, de légumes et de poissons crus forment une alternative plutôt saine pour un repas", explique Barbie Boules, diététicienne, au site Women's Health. Cependant, il ne faudrait pas trop en abuser non plus et essayer de maintenir une alimentation variée et équilibrée, pour éviter d'avoir des carences, par exemple.
"Les adultes peuvent consommer entre 10 à 15 pièces de sushis par semaine", recommande la spécialiste Barbie Boules.
Sushis : quels sont les risques ?
La principale préoccupation face à la consommation de sushis concerne évidemment l'empoisonnement au mercure, puisque les poissons sont la principale cause de contamination pour l'humain.
Celui-ci peut provoquer des maux de tête, des étourdissements, des retards de développement, des lésions cérébrales ou encore des défaillances d'organes. Pourtant, tous les poissons ne sont pas autant concernés.
"Plus vous optez pour des prédateurs, qui se trouvent en haut de la chaîne alimentaire, comme les requins ou les thons, plus vous aurez de chances qu'ils aient ingérés du mercure", précise Claire Martin, cofondatrice du site Being Healthfull, ou littéralement Être en bonne santé. Elle conseille d'éviter de consommer ce type de poissons plus de deux fois par semaine, peu importe la façon dont il est cuisiné.
Rassurez-vous, d'autres poissons sont bien moins touchés par le mercure. Le saumon, le crabe, les crevettes ou encore l'anguille peuvent être dégusté·e·s en toute tranquillité. "Pour équilibrer vos repas, je recommande d'opter pour un mélange de sushis comprenant six pièces de poisson cru à faible teneur en mercure, puis d'ajouter des alternatives comme des pièces végétariennes ou à base de crevettes cuites", indique Barbie Boules.
Un risque à éviter pour les femmes enceintes et allaitantes
Chez la femme enceinte, le mercure peut facilement traverser le placenta et s'accumuler dans le cerveau et les autres organes du foetus. De même dans le lait maternel.
Les femmes enceintes et allaitantes doivent donc éviter de consommer du poisson et notamment ceux à forte teneur en mercure. Les sushis au poissonsont donc malheureusement déconseillés durant cette période.
De plus, les poissons crus (comme les viandes crues) pourraient contenir d'autres parasites et bactéries néfastes au bébé. Mieux vaut faire attention mais évidemment, chacune est libre de faire comme bon lui semble et de mener sa grossesse comme elle l'entend.
Sinon, vous pouvez toujours vous consoler avec des alternatives végétariennes, comme à l'avocat, par exemple.

Un médicament réduit de 50% le recours à l'anesthésie péridurale

Un médicament pourrait réduire de 50% le recours à l'anesthésie péridurale
Pendant l'accouchement, beaucoup de femmes optent pour l'anésthésie péridurale, même si certaines préféreraient s'en passer. Des chercheurs britanniques suggèrent une nouvelle piste de traitement afin de réduire de moitié le recours à cette méthode analgésique.
Accoucher sans péridurale est le souhait de plus en plus de futures mamans. Mais parfois, la douleur s'avère si intense qu'elles n'ont d'autre choix que de se tourner vers des analgésies, dont la plus répandue est l'anesthésie sous péridurale.
Une étude parue dans The Lancet le 13 août réalisée par des chercheurs de l'Université de Sheffield (Royaume-Uni) suggère toutefois une nouvelle piste de traitement par voie intraveineuse permettant de limiter le recours à la péridurale. Il s'agit du rémifentanil, un antidouleur dérivé du fentanyl peu utilisé.
2 fois moins de péridurale avec le rémifentanil
En prescrivant une dose de péthidine (morphinique administré par voie musculaire) à 200 femmes en train d'accoucher, les médecins ont constaté que dans 1 cas sur 3, les effets anti-douleurs s'avéraient trop faibles et les patientes se retrouvaient contraintes de recourir à la péridurale.
Les auteurs et autrices de l'étude ont donc effectué un test sur un autre groupe de 200 femmes, à qui ils ont administré du rémifentanil. Résultat : seules 19% des femmes traitées au rémifentanil ont ressenti le besoin de recourir à l'anasthésie péridurale, soit deux fois moins que celles soignées par péthidine.
"Cette découverte remet en question la consommation courante de péthidine en tant que traitement de référence dans le cadre du travail", concluent les auteur·trice·s de l'étude.
Bien qu'ils n'aient observé aucun effet indésirable grave chez les femmes traitées au rémifentanil, les médecins soulignent toutefois la nécessité d'approfondir les recherches afin de confirmer les bienfaits de ce médicament pour la prise en charge des douleurs liées à l'accouchement.
77% des Françaises accouchent sous péridurale
En France, un quart des femmes souhaiteraient se passer de péridurale. Cette technique efficace mais puissante, ne convient en effet pas à toutes les femmes. Il faut dire que la liste des effets secondaires de l'analgésie péridurale peut avoir de quoi décourager : accouchement plus long, hormones perturbées, fièvre, démangeaisons...
Mais l'écart entre le désir des futures mamans et la réalité de leur accouchement est important puisque 77% d'entre elles ont recouru à cette méthode en 2010, selon des statistiques de l'Inserm 2015.
Pour Béatrice Blondel, responsable de ces travaux dans l'Équipe d'épidémiologie périnatale, obstétricale et pédiatrique (EPOPé) "c'est moins le profil de la femme que l'organisation des soins qui va conduire à la pose d'une péridurale en cours de travail."
"La péridurale est disponible dans tous les services et fait partie de la prise en charge habituelle de la douleur proposée aux femmes. Cela les incite donc probablement à l'accepter a priori", explique-t-elle à l'Inserm.

Pourquoi vous devriez manger plus d'herbes fraîches ?

Pourquoi vous devriez manger plus d'herbes fraîches ?
Les herbes aromatiques traînent dans notre cuisine sans pour autant qu'on ne les cuisine tous les jours. Pourtant, le thym, le romarin ou encore la menthe sont remplies d'actifs bénéfiques pour notre corps.
Basilic, thym, aneth... Toutes ces herbes aromatiques sont parfaites pour embaumer les plats, les entrées, les desserts et même quelques recettes de cocktails.
Pourtant, nous ne les utilisons pas quotidiennement. S'il nous arrive d'ajouter quelques feuilles de basilic à notre salade ou à la sauce de nos pâtes, on oublie vite qu'il existe énormément de variétés d'herbes différentes, qui ne demandent qu'à être cuisinées.
En plus d'être délicieuses et incroyablement parfumées, elles seraient excellentes pour notre organisme. On ne dirait pas comme ça, mais ces petites herbes sont remplies de bons actifs, bénéfiques à notre corps et à notre santé.
Ces herbes fraîches sont gorgées d'antioxydants, ce qui signifie qu'elles pourraient prévenir certains cancers, par exemple, mais aussi vous garantir une meilleure digestion.
Comment bien utiliser les herbes aromatiques ?
En 2010, le site Scientific American révelait à ses lecteurs qu'une "demi cuillère à café d'origan séché comportait le même taux d'antioxydants que 700 grammes d'épinards crus". Il conseillait également d'ajouter un mélange d'herbes aromatiques et d'épices dans ses sandwichs ou ses hamburgers pourraient aider à réduire les risques cancérigènes causés par le grill ".
Comme l'indique la fermière Kerry Clasby au site Hello Giggles, il serait très facile d'intégrer ces petites herbes dans notre régime alimentaire.
"Elles sont excellentes dans les smoothies, par exemple. Elles peuvent aussi être ajoutées à la préparation de pains, de wraps, de salades, de thé, etc.", explique-t-elle. Les herbes aromatiques sont aussi géniales dans des oeufs brouillés ou des omelettes, sur des tartines de fromage mais aussi dans des yaourts, par exemple.
Pour ne pas vous tromper, c'est tout simple. Il vous suffit de suivre vos papilles gustatives et de sentir l'arôme de chaque herbe pour savoir laquelle mixer avec tel ou tel ingrédient.
Comment faire pousser des herbes aromatiques ?
Que vous viviez en maison avec un beau jardin ou que vous ayez juste un balcon, il est très facile de faire pousser quelques herbes aromatiques. Pour cela, vous devez simplement vous munir d'un petit contenant, dans lequel placer de la bonne terre et des herbes à planter.
Vous pouvez planter du laurier, du thym, du basilic, de la menthe, de la coriandre, du persil, du romarin, de la verveine, de la ciboulette, de la sauge et bien d'autres encore. Si vous en prenez grand soin, elles vous dureront longtemps et vous fourniront des belles feuilles à mixer dans de délicieuses recettes.
Alors, prête à adopter les herbes aromatiques fraîches ?

S'arracher un cheveu blanc va-t-il vraiment en faire pousser d'autres ?

S'arracher un cheveu blanc va-t-il vraiment en faire pousser d'autres ?
Personne n'aime se réveiller et découvrir de bon matin, un crin blanc qui pointe au sommet de son crâne. Le réflexe sera bien sûr de l'arracher. Mais peut-on se fier à l'idée reçue selon laquelle enlever un cheveu blanc accélére la repousse d'autres cheveux blancs ?
Ah, les cheveux blancs ! On les scrute dès qu'on commence à prendre de l'âge, en se livrant sans merci à une exploration chirurgicale de notre cuir chevelu pour arracher la première mèche qui aura la mauvaise idée de pâlir. Mais souvenez-vous du dicton : "Un cheveu enlevé, deux de repoussés".
Difficile toutefois de savoir si cette affirmation correspond à un fait avéré ou s'il s'agit simplement d'une légende urbaine. Ce qui est sûr, c'est que la question intéresse. En 2015, une équipe de chercheurs de l'Université de Californie du sud s'est même penchée sur ce sujet.
Leur expérience, qui a consisté à arracher des poils sur des rats, a montré que lorsque le cheveu est délogé de sa cavité, où il prend racine, le cycle capillaire est modifié. Le cheveu est remplacé par un autre qui va se former dans la même cavité et pousser au même emplacement.
D'après l'étude des chercheurs californiens, les rats à qui 200 poils ont été enlevés, ont vu entre 450 et 1300 poils repousser sur les mêmes zones du dos dont ils ont été arrachés. Ce phénomène un brin alarmant confirme donc la théorie du cheveu blanc arraché qui repousse à la lumière de l'éclair.
Un cheveu arraché peut repousser plus épais
Pas de panique toutefois : cette expérience n'a été menée que sur des animaux. Inutile donc de vous faire des cheveux blancs. Le dermatologue Pierre Bouhanna, sollicité par Madame Figaro, confirme : "Mais non, ce n'est pas parce que vous ôtez un cheveu blanc que derrière, trois autres repousseront aussitôt !".
Le médecin met cependant en garde contre le réflexe d'arracher un cheveu : "Arracher le cheveu qui dérange n'est pas sans risque : ce dernier peut repousser plus droit et plus épais qu'avant."
Comment prévenir l'apparition des cheveux blancs ?
Le blanchissement des cheveux survient lorsque notre organisme cesse de secréter des mélanocytes, des cellules qui donnent de la couleur à nos cheveux. Ce phénomène survient généralement à l'âge de 40-50 ans, quand le corps commence à produire des quantités importantes de peroxyde d'hydrogène, une substance plus connue sous le nom d'eau oxygénée, qui entraîne la dépigmentation du cheveu.
L'arrivée des premiers cheveux blancs varie beaucoup en fonction des individus et s'avère de ce fait difficile à prévenir. Mais si vous n'assumez pas ces nouvelles mèches blanches, il existe quelques astuces pour les camoufler : mascara pour cheveux, coloration, sprays retouche... Et même une astuce 100% naturelle à base de peau de pomme de terre.

L'huile d'olive, plus forte que le Viagra ?

L'huile d'olive, plus forte que le Viagra ?
Si les vertus du régime méditérannéen sont connues depuis longtemps, il en est une qui restait inconnue jusqu'ici : réduire l'impuissance sexuelle. Selon une nouvelle étude scientifique, l'huile d'olive ferait en effet des miracles chez les hommes qui souffrent de dysfonction érectile.
Antiseptique naturel, hydratant, enjoliveur de peau, anti-inflammatoire... En plus d'être succulente dans une salade tomates-mozzarella, l'huile d'olive présente de nombreuses vertus thérapeutiques. Mais celle-ci pourrait bien vous surprendre.
D'après une nouvelle étude scientifique, l'huile d'olive représenterait un remède naturel très efficace pour soigner les dysfonctions érectiles (ou impuissance sexuelle). Cet atout santé surprenant a été mis en avant par des chercheuses et des chercheurs de l'université d'Athènes lors du congrès annuel de l'European Society of Cardiology qui a eu lieu du 25 au 29 août 2018 à Munich.
Les scientifiques s'appuient sur une étude menée auprès de 660 hommes d'un âge moyen de 67 ans. Tous avaient adhéré à un régime méditerranéen à base de fruits et légumes, de légumineuses, de poissons, de noix... et d'huile d'olive. 
Au fil de leurs observations, les scientifiques grec·que·s en ont déduit qu'une dose hebdomadaire de 9 cuillères à soupe d'huile d'olive pourrait s'avérer efficace pour aider à améliorer les performances d'un homme au lit. L'huile d'olive aide à augmenter les niveaux de testostérone, ce qui réduit le risque de dysfonction érectile, notent les scientifiques.
Réduire l'impuissance sexuelle de 40%
Le Dr Christina Chrysohoou, autrice principale de l'étude, rappelle par ailleurs que l'alimentation et l'exercice sont essentiels à l'amélioration de la capacité sexuelle des hommes d'âge moyen et de plus de 60 ans. "Les hommes qui suivent un régime méditéranéen - en particulier ceux qui consomment beaucoup d'huile d'olive - voient leur risque d'impuissance réduit de 40 %", souligne-t-elle.
Une bonne nouvelle quand on sait que le médicament Viagra, créé dans les années 1990, a aidé la vie sexuelle de millions de personnes, mais peut entraîner des effets secondaires non négligeables comme des maux de tête, des maux de dos ou des troubles visuels.
"Le Viagra n'améliore pas quelque chose à long terme. Il ne peut donner qu'un court effet pour avoir une capacité sexuelle, alors que le régime méditerranéen offre aux hommes une solution à long terme sans prendre aucun médicament", précise le Dr Chrysohoou.

La technique militaire pour s'endormir en deux minutes

La technique militaire pour s'endormir en deux minutes
Comment s'endormir lorsque l'on a tout essayé ? On vous donne la technique ultime, celle de l'armée américaine pour dormir sur le champ de bataille.
Dormir. Un simple mot qui paraît un rêve lointain pour tant d'entre nous. Chacun a sa technique pour tenter de s'endormir. Que cela soit l'"Intention Paradoxale" qui vous propose de rester éveillée plutôt que d'essayer absolument de s'endormir, ou dormir chacun avec sa couette lorsqu'on est en couple.
Si vous avez déjà tout essayé et que vous ne trouvez aucune technique valable, on vous en propose une nouvelle, militaire cette fois-ci ! Elle peut vous aider à tomber dans le sommeil en moins de deux minutes.
Cette méthode serait utilisée par l'armée américaine pour aider ses soldat·e·s à trouver le sommeil sur les terrains de guerre et ainsi à ne pas faire d'erreur à cause de la fatigue. L'astuce a été révélée la première fois dans un livre publié en 1981, comme le rapporte The Independent : Relax and Win : Championship performance, Détendez-vous et gagnez : Les performances de champion.
Voici comment réaliser cette technique pour dormir en deux minutes :
1. Relâchez vos muscles du visage, y compris la langue, les joues et les muscles autour des yeux.
2. Laissez tomber vos épaules autant que possible, ainsi que vos bras et avant-bras, les uns après les autres.
3. Expirez, relaxez votre torse puis vos jambes en commençant par les genoux.
4. Vous devez ensuite faire le vide dans votre esprit avant de penser à l'une de ces images :
Vous êtes allongée dans un canoë sur un lac calme avec seulement le ciel bleu au-dessus de votre tête.
Vous êtes allongée sur un hamac en velours noir dans une pièce plongée dans un noir profond.
Répétez-vous plusieurs fois " Ne pense pas, ne pense pas, ne pense pas" pendant au moins dix secondes.
Selon The Independent, cette technique fonctionnerait sur 96 % des gens après six semaines de pratique. Le principal à retenir, c'est que si vous voulez vous endormir, il faut faire le vide le plus possible dans votre esprit. On teste ?

La meilleure heure pour petit-déjeuner ?

Au fait, c'est quoi la meilleure heure pour petit-déjeuner ?
Le matin, le petit-déjeuner est primordial pour bien attaquer la journée. Le problème, c'est qu'on ne sait jamais quand il faut le prendre et que selon notre emploi du temps, cet horaire change tous les jours de la semaine. On fait le point pour tirer les meilleurs bénéfices du petit-déjeuner.
On ne cesse de nous le rabâcher, mais le petit-déjeuner serait le repas le plus important de la journée. Oui, ça, on l'a bien comprise.
Mais la question n'est pas de savoir s'il faut manger ou non, mais surtout à quelle heure faut-il le faire. En bref, le petit-déjeuner doit se prendre le matin, avant le déjeuner du milieu de journée. Bien. Mais faut-il le prendre à sept heures du matin ? Ou à onze heures ?
Quand on travaille, il est tentant de prendre son petit-déjeuner avant de partir au bureau ou alors en y arrivant. Mais dans ce cas, comment faire le week-end, quand on veut faire une grasse matinée et qu'on émerge seulement à midi ?
L'heure à laquelle vous devez prendre votre petit-déjeuner
Car ce détail est très important. "L'heure à laquelle vous mangez est tout aussi important que ce que vous allez manger", assure Theresa Shank, diététicienne au site Women's Health.
Le petit-déjeuner a pour rôle de booster votre métabolisme pour la journée. "Une fois qu'il est réveillé, notre corps a besoin de sortir de son état de jeûne, qu'il a subi durant la nuit", indique-t-elle.
C'est pour cette raison qu'elle recommande de manger dans les deux heures qui suivent votre réveil. Et peu importe si vous vous levez à six heures du matin ou à onze heures du matin. Vous devez absolument manger durant cette période-là, pour éviter un dérèglement de votre taux de glycémie. Celui-ci permet de réguler votre appétit et lorsqu'il se dérègle, cela peut déclencher une envie de surconsommation de nourriture.
Cependant, si vous souffrez de diabète, il est encore plus important de stabiliser votre taux de glycémie. Ainsi, essayez de limiter la durée entre votre réveil et votre petit-déjeuner et essayez de manger dans l'heure qui suit.
Comment faire si vous n'aimez pas manger le matin ?
Rassurez-vous, vous êtes loin d'être la seule personne dans ce cas-là. Beaucoup de gens n'ont pas envie de manger quand ils se lèvent, même deux heures après leur réveil.
Pourtant, vous devez être consciente que la meilleure chose à faire pour votre organisme est de vous forcer un petit peu. Comme l'indique le site Women's Health, en sautant le petit-déjeuner, vous vous exposez à un plus grand risque de diabète. De plus, votre corps et votre cerveau seront tout deux en manque d'énergie pour débuter la journée, ce qui pourrait ralentir votre métabolisme.
Vous pouvez tout d'abord commencer par boire un grand verre d'eau, pour bien vous hydrater. Ensuite, mangez un petit en-cas qui vous donne envie : un yaourt grec, un œuf dur, un fruit, une tranche de pain.
De plus, avec le temps, votre corps va finir par s'habituer et le petit-déjeuner deviendra une véritable routine.
Comment faire si vous devez aller au sport ?
Si vous avez l'habitude de faire votre sport le matin, dès le réveil, la question se pose : faut-il faire prendre son petit-déjeuner avant ou après son entraînement ?
Et bien c'est simple, cette fois-ci, c'est à vous de choisir ! En effet, si vous mangez juste avant d'aller faire votre sport, vous risquez de vous sentir ballonnée durant tous vos exercices. Pourtant, certaines personnes préfèrent prendre des forces avant de se dépenser.
Surtout, ne vous stressez pas. C'est à vous de déterminer ce qui est bon pour vous. Si vous vous sentez mal, mangez directement la moitié d'une banane pour retrouver des glucides.
"En général, je recommande toujours de manger dans un délai de deux heures, avant ou après le sport", indique la nutritionniste.
Et puis, prendre son petit-déjeuner, c'est toujours une excuse supplémentaire pour se forcer à sortir du lit, pas vrai ?

6 astuces improbables pour soulager la douleur des règles

6 astuces improbables pour soulager la douleur des règles
Les règles peuvent se révéléer un véritable enfer. Pour éviter d'en souffrir tous les mois et soulager la douleur, il existe des astuces toutes simples, naturelles et très efficaces. On teste ?
Les règles, chaque femme les vivent différemment. Pour certaines, ces quelques jours dans le mois peuvent s'effectuer sans douleurs alors que d'autres souffrent sans discontinuité. Maux de ventre, ballonnements, gêne au niveau de la poitrine et sensation de nausées, tous ces symptômes peuvent vite devenir contraignants.
Rassurez-vous, il existe des solutions naturelles pour soulager les règles douloureuses. Il existe également des astuces improbables, auxquelles on n'aurait vraiment pas pensé mais qui vont vous aider à passer en douceur ce cap pénible.
Prenez de l'huile d'onagre
Si vous croyez au pouvoir des plantes, c'est le remède idéal pour soulager vos douleurs. L'huile d'onagre aide à calmer les crampes d'estomac, les maux de tête et les sensations douloureuses dans la poitrine.
Comment ? Ses actifs l'aident à lutter contre la prolifération des prostaglandines, des hormones à l'origine de ces symptômes désagréables.
Vous pouvez aussi utiliser de l'huile essentielle de lavande ou encore de l'huile essentielle de mandarine pour apaiser vos douleurs.
Dormez en position foetale
Dormir en position permettrait de se relaxer et d'apaiser la douleur, puisqu'elle détend les muscles abdominaux et qu'elle calme les maux de ventre. De plus, elle est très confortable et vous permet de vous endormir facilement.
Portez des vêtements amples
Durant ces quelques jours, oubliez votre jean taille haute préféré et votre robe moulante. Optez plutôt pour des pièces amples, fluides et confortables. Cela ne sert à rien de placer un élastique au niveau de votre taille, car vous allez encore plus souffrir si vous vous sentez comprimée.
Mangez ce que vous voulez
Grace, nutritionniste du magazine américain Glamour, explique que votre corps a besoin de ce qu'il réclame et que ce n'est pas le moment de se mettre au régime. Bon, c'est plutôt clair, non ? On se fait plaisir et c'est tout. On le mérite bien, de toute façon.
Oubliez l'alcool
Alors non, ce n'est pas le moment de boire pour oublier votre douleur. "Vous devez soulager votre foie pour qu'il puisse se concentrer sur le travail d'élimination de toutes vos autres hormones", indique la nutritionniste. Vous devez également limiter le café.
Si vous pouvez manger ce que vous voulez, contentez-vous d'eau ou de thé. La tisane de sauge est aussi excellente pour calmer les douleurs abdominales.
Usez et abusez d'une bouillotte
Que vous la placiez sur votre ventre, sur votre dos ou sur votre poitrine, c'est la même chose. Ce petit coussin bien chaud va vous aider à soulager toutes vos douleurs puisque la chaleur détend vos muscles et aide à relâcher les tensions.
Si vous n'avez pas de bouillotte, vous pouvez aussi prendre un bon bain chaud, pour vous détendre.

Des cosmétiques pour les femmes atteintes d'un cancer du sein

Elles ont créé des cosmétiques pour les femmes atteintes d'un cancer du sein
Octobre Rose a officiellement commencé. Ce mois de sensibilisation à la prévention du cancer du sein rappelle toutes les intiatives prises pour aider les patientes à surmonter cette terrible épreuve. Parmi elles, nous avons repéré "Même", première marque de cosmétiques entièrement dédiée aux femmes atteintes d'un cancer du sein
Comme chaque année depuis 18 ans, le mois d'octobre est placé sous le signe du cancer du sein. En ce début d'Octobre Rose, nous avons rencontré les fondatrices de Même, première marque de produits cosmétiques entièrement dédiée aux femmes atteintes d'un cancer du sein.
Vernis à ongles, crème hydratante pour le visage, démaquillant, huile protectrice et hydratante du cuir-chevelu... Au total, la gamme présente 21 articles distribués dans 1500 pharmacies en France.
Tous les produits sont composés à 96% d'ingrédients naturels et ont fait l'objet d'une étude clinique sur 70 femmes sous traitement anti-cancéreux en 2016 dirigée par le Centre de Lutte Contre le Cancer et l'Hôpital Privé Jean Mermoz (Lyon).
"J'ai compris que c'était son moyen à elle de lutter contre la maladie"
À l'origine de la marque Même, Judith Levy, qui a perdu sa maman d'un cancer du sein il y a 8 ans. "Ma mère a toujours adoré les fringues et les cosmétiques, mais jamais autant que pendant sa maladie. Il ne se passait pas 48h sans qu'elle ne se soit acheté un nouveau jean, une nouvelle crème pour le visage ou un nouveau vernis à ongle. Au début, je trouvais cela un peu démesuré et superficiel... et puis j'ai compris. J'ai compris que c'était son moyen à elle de lutter contre la maladie. Ne pas avoir l'air malade, préserver son image et son estime d'elle-même était sa stratégie pour se battre le plus longtemps possible contre cette "sale blague", raconte Judith.
En juillet 2014, son chemin croise celui de Juliette Couturier, lors de son stage chez l'Oréal Luxe. Cette étudiante sortie de Science Po et d'HEC a vécu une situation similaire à celle de Judith puisque presque toutes les femmes de sa famille sont passées par la terrible épreuve du cancer du sein. Quand Judith lui parle de son ambition des développer des cosmétiques spécifiquement pour aider les patientes, celle-ci lui conseille immédiatement de se lancer... et ne tarde pas à la rejoindre dans l'aventure.
Lancée en janvier 2017, la marque Même a été partagée par de nombreuses femmes désireuses de faire bonne figure malgré leur maladie, mais ne pouvant plus utiliser leurs produits de beauté habituels. "Quand on a un cancer du sein, les ongles se noircissent et deviennent douloureux. Les pieds et les mains s'assèchent très vite. Le problème, c'est qu'elles ne sont pas toujours au courant. Il est donc très important pour elles d'avoir des produits qui leur permettent de les apaiser et même temps de prendre soin de leur corps", estime Juliette.
Judith et Juliette donnent de nombreux conseils aux femmes atteintes de cancer du sein, les clientes sont au rendez-vous quand les premiers produits de la marque voient le jour. Le succès est alors exponentiel, ce qui encourage Judith et Juliette à lancer de nouveaux cosmétiques comme la BB crème hydratante, qu’elles nous ont présenté ce mardi 2 octobre.
Produits cosmétiques de la marque "Même", Octobre Rose
Une marque pour les femmes atteintes de cancer... mais pas que
Pour ces deux jeunes entrepreneuses, pas question de concevoir les produits au hasard. "Nous avons rencontré de nombreux oncologues et chacun de nos nouveaux produits ont été soumis à des tests cliniques stricts. On a été hyper embêtantes avec nos fournisseurs, mais aujourd'hui on est sûres à 100% d'aider ces femmes et de leur proposer des produits fiables et naturels", assure Juliette.
Sur la table de produits qui s'étalent devant nous, on distingue une huile dissolvante fabriquée à base d'huile d'amande et de sucre, qui permet de retirer le vernis en douceur, sans agresser l'ongle. On y voit également une large gamme de vernis naturel à base de silicium (une colle végétale), déclinée en de nombreuses couleurs.
Le packaging est soigné, toute la gamme est déclinée dans des messages positifs. "Même moi, j'efface tout et je recommence", peut-on par exemple lire sur la bouteille de dissolvant. "On ne voulait surtout pas un marketing qui fait allusion au cancer", précise Juliette.
Au premier coup d'œil en effet, difficile de deviner que ces produits s'adressent à des femmes atteintes de cancer. "Nos produits attirent aussi des femmes en bonne santé, désireuses de consommer des cosmétiques naturels et respectueux de leur peau", explique Juliette.
Des produits adaptés et non agressifs
Lorsque la chimiothérapie arrive dans le corps, elle a tendance à s'incruster dans les extrémités, comme les pieds, les mains et les ongles. Les produits de la marque Même a donc pour double vocation d'assurer un soin de prévention grâce à des produits hydratants pour renforcer la peau et les ongles, mais aussi de permettre à
L'équipe de la Même, qui compte désormais 14 personnes, sillonne l'Hexagone pour animer des ateliers de sensibilisation à destination des professionnels de santé.
"Les infirmières nous appellent souvent pour savoir quels produits conseiller à leurs patientes. On prend alors le temps de les rencontrer et de leur présenter l'ensemble de notre démarche", expliquent les fondatrices qui comptent renforcer leur engagement en soutenant des associations ou des organismes qui participent à l'amélioration de la qualité de vie des personnes concernées par le cancer.

L'astuce pour calmer un coup de stress en 90 secondes

L'astuce parfaite pour calmer un coup de stress en 90 secondes
Les coups de pression ou les crises d'angoisse peuvent vite nous gâcher une journée. Pour éviter de trop subir les symptômes du stress, voici une méthode pour se calmer en 90 secondes.
Que vous soyez de nature stressée ou pas, vous avez forcément déjà subi les symptômes d'une crise d'angoisse. Coup de pression, tract ou anxiété, notre corps réagit et transpire, tremble ou se tétanise.
Dans ces situations, la respiration se bloque ou s'accélère, tout comme votre pouls. Malheureusement, ces coups de stress surviennent souvent de manière inopinée, que ce soit dans le cadre personnel ou professionnel.
Pour éviter de se gâcher la vie avec ces petits désagréments, mieux vaut trouver une solution rapide et efficace pour réussir à se calmer et à apaiser son esprit.
Sacha Strebe est journaliste pour le site américain My Domaine. Elle est souvent sujette aux crises d'anxiété et a découvert une astuce parfaite pour se calmer en un rien de temps : la règle des 90 secondes.
C'est quoi la règle des 90 secondes ?
"La règle des 90 secondes est idéale pour ceux qui, comme moi, ont essayé la méditation mais n'arrivent pas à la faire fonctionner. En un mot, cet exercice simple consiste à aligner le coeur et la tête", explique Sacha Strebe dans son article dédié.
La journaliste indique avoir connu cette méthode via Anthony Robbins, un coach en développement personnel américain. Il conseille de suivre cette règle pour réussir à résoudre des conflits internes. Il faut ainsi réussir à ne pas trop penser et à écouter son coeur.
"Si vous utilisez trop votre esprit, vous ne pouvez pas apprécier le goût d'une pomme, par exemple, car votre cerveau se demandera si elle est issue de l'agriculture biologique, si elle a été lavée, etc.", décrit le spécialiste.
Il ajoute que l'être humain peut vivre dans deux états différents : un état sain et un état de souffrance. Il suffit de se dire que la vie est trop courte pour vivre constamment dans un état de souffrance et laissez le stress et l'angoisse s'envoler.
"Pendant 90 secondes, essayez de penser seulement à votre état de souffrance et ensuite, laissez-le partir", recommande-t-il. L'objectif de cette règle est simplement de prendre le contrôle sur son esprit et sur sa concentration, pour s'obliger à retrouver un état sain et plaisant.
Comment la mettre en place ?
Il existe une méthode très simple pour mettre en pratique cette règle des 90 minutes. Avant de commencer, Anthony Robbins conseille de réfléchir à une situation à problèmes. Évaluez-la et notez-la sur une échelle du stress de 0 à 10.
Placez ensuite vos deux mains sur votre coeur et respirez profondément. Vous devez ressentir la force de votre coeur, son battement, imaginez le flux sanguin, l'oxygène, etc. Soyez reconnaissant pour votre coeur et dites-vous que c'est un beau don.
À ce moment-là, pensez à un événement précis de votre vie, un moment agréable et sacré, pour lequel vous êtes vraiment reconnaissante. Repassez-vous tout ce moment et essayez de reconnaître toutes les émotions que vous avez ressenties lors de cet événement.
Lorsque vous vous sentez vraiment bien, essayez de vous servir de cet état pour régler votre situation à problèmes. Continuez à respirer et à penser à votre coeur, essayez au maximum de conserver votre état de bien-être. En vous concentrant ainsi, vous trouverez forcément une solution et vous n'aurez plus de quoi faire une crise d'angoisse.

8 aliments qui atténuent le syndrome prémenstruel

8 aliments qui atténuent le syndrome prémenstruel
À l'arrivée des règles, notre corps subit le syndrome prémenstruel et tout son lot de symptômes désagréables. Pour éviter de trop souffrir durant ces quelques jours, voici la liste des aliments à privilégier.
Chaque mois, c'est la même histoire. Deux à trois jours avant les règles, votre estomac est ballonné, vous avez la nausée et les nerfs à vif. De plus, vous avez faim et mal à la tête. Ce syndrome prémenstruelest un véritable cauchemar et malheureusement, il revient régulièrement.
Pour éviter de trop souffrir ou d'éclater en sanglots à la moindre contrariété durant ces quelques jours, mieux vaut opter pour des remèdes naturels et efficaces.
Votre alimentation, par exemple, est capable d'atténuer ou d'augmenter vos symptômes. Voici la liste des aliments à éviter et à privilégier durant ce maudit "SPM".
Les aliments à éviter lors du syndrome prémenstruel
Les aliments salés
Oui, on sait, durant cette période vous avez juste envie de manger des frites et une bonne pizza. Pourtant, mieux vaut éviter de consommer des produits trop gras et trop salés. En effet, ils auront tendance à accentuer vos sensations de ballonnements et vous en souffrez déjà suffisamment assez.
L'alcool
Cela ne sert à rien de boire pour oublier, bien au contraire. Puisque vous souffrez déjà de nausées, évitez tout simplement d'en rajouter une couche en consommant des boissons alcoolisées, même avec modération.
Le café
Les spécialistes du Congrès Américain des Gynécologues et des Obstétriciens recommandent d'éviter la consommation de caféine lorsque vous souffrez de syndrome prémenstruel. Contentez-vous d'un décaféiné réconfortant.
Les aliments à privilégier lors du syndrome prémenstruel
Même si vous devez vous priver de certains types de nourriture, voici ce que vous pouvez largement consommer pour atténuer vos symptômes du syndrome prémenstruel.
Le yaourt grec
Le yaourt grec comptabilise plus de 10 grammes de protéines pour 100 grammes. C'est l'une des meilleures sources de calcium et de vitamine D. Ces ingrédients sont parfaits pour stopper la majorité des symptômes et apaiser vos douleurs. Cependant, essayez d'opter pour un yaourt grec sans sucres ni édulcorants. Vous pouvez y ajouter des fruits et des noix pour le goût.
Les graines de citrouille
Au lieu de grignoter des chips ou des bonbons, jetez-vous plutôt sur une toute autre collation : les graines de citrouille. Croustillantes et savoureuses, elles font un parfait en-cas. Elles sont gorgées en magnésium, qui aide à améliorer votre humeur.
Les amandes
Tout comme les graines de citrouilles, les amandes sont parfaites pour satisfaire vos envies de grignotage. Elles sont riches en fibres, en protéines mais aussi en vitamine B. C'est aussi une source de fer, ce qui peut nous aider à garder la forme durant cette période de grande fatigue.
Le boeuf
En plus d'être une grande source de protéines, le boeuf est riche en zinc, un minéral qui permet d'apaiser les douleurs. Choisissez cependant des coupes maigres comme le filet par exemple, et faites-le bien cuire.
Les flocons d'avoine
Les flocons d'avoine sont parfaits pour le petit-déjeuner, pour le goûter ou pour un petit dessert. Ils calent facilement votre estomac et sont enrichis en vitamine B. Ils peuvent se consommer dans un yaourt grec, avec des amandes, pour un en-cas rempli de bons nutritifs.
Le saumon
Le saumon est riche en graisses, oui, mais en bonnes graisses. Il contient également des protéines et de la vitamine D. Vous pouvez le manger cuit ou cru, comme bon vous semble.
Les oeufs
Tout comme le saumon, les oeufs sont enrichis en vitamine D. Selon le site Greatist, une récente étude démontre que la vitamine D serait parfaite pour réduire la sensibilité de la poitrine, autre symptôme du syndrome prémenstruel. À cause sans modération.
Le chou kale
Si vous n'aimez pas le chou kale, vous pouvez très bien choisir un autre aliment de la liste. Dans le cas contraire, vous pouvez (presque) en abuser : le chou kale est riche en calcium et en magnésium, il est sain, et sera parfait en salade.

La migraine est une maladie

Non, la migraine n'est pas une "fausse excuse" : c'est une maladie
Je fais partie des 12 millions de Français·es qui souffrent de migraine. Parce que oui, c'est une maladie. Une maladie chronique sacrément handicapante sur le plan social et professionnel.
"Oh non, elle va encore nous faire le coup de la migraine". Je ne compte plus les fois où j'ai entendu cette phrase, formulée à mon encontre. Que ce soit de la part de mon mec, de mes parents, de mes potes... Non pas qu'ils soient tous insensibles au point de s'en foutre, loin de là même, mais il faut dire que mes crises assez fréquentes les ont traumatisés.
En effet, je fais partie des 12 millions de Français·es qui souffrent de migraine. Quelques points de repère pour celles et ceux qui ne connaissent pas bien la différence entre une migraine et un mal de tête. Un mal de tête se traduit par une douleur générale au niveau du cou et/ou du crâne et dure en principe quelques heures. Souvent, un anti-douleur type paracétamol (ou alors un truc un peu plus costaud si la douleur est plus sévère) contribuera à vous soulager.
La migraine désigne une douleur lancinante localisée à un endroit précis de la tête (dans mon cas au niveau de la tempe gauche). Bien souvent, les anti-douleurs standards n'ont aucun effet et la seule solution est de se coucher dans le noir et dans le silence total, en attendant que ça passe... Les symptômes varient mais peuvent souvent s'accompagner de nausées et de vomissements. La durée des crises varie généralement entre 48h et 72h. On a donc souvent mal pendant plusieurs jours d'affilée.
Pour ma part, c'est plutôt 48h avec des nausées, une incapacité quasi totale à manger quoi que soit et un besoin absolument nécessaire de ne pas croiser une seule source de lumière. Bref, un vrai bonheur. Ceux et celles qui me côtoient régulièrement ont d'ailleurs compris que ce n'était plus vraiment la peine de me demander "mais t'as pris un truc pour ton mal de tête ?"
Bien sûr, mes proches s'inquiètent. Mon mec se souviendra probablement pendant longtemps de la fois où je l'ai appelé pour qu'il vienne me récupérer aux urgences : ma migraine durait depuis plus de 48h et mon médecin soupçonnait une méningite. Heureusement, ce n'était pas le cas.
"Une maladie de femme"
Souvent, la question que tout le monde me pose c'est : "Mais tu sais pourquoi tu es comme ça ? Il doit bien exister un traitement adapté à ton problème quand même !" Oui... et non. Mes migraines ont commencé quand j'avais 16 ans. À l'époque, je venais de m'installer à Paris. Je me souviens que l'adaptation à la capitale a été violente, moi qui ai grandi dans une ville assez calme.
J'avais beau être ravie d'habiter (enfin) à Paris, les premiers mois à courir pour ne pas rater mon métro et mon envie de tout faire et de tout voir m'ont rapidement vidée de mon énergie. Ça a d'ailleurs été le premier diagnostic posé par mon docteur : "C'est certainement dû au stress, vous allez vous habituer". Sauf que les mois ont passé, et j'avais toujours mes migraines. À la deuxième consultation, on m'a demandé si j'avais des antécédents familiaux.
Je me souvenais que ma mère avait elle aussi régulièrement des crises. "C'est normal alors, c'est héréditaire et en plus, c'est une maladie de femme". Ce diagnostic médical un brin sexiste fait allusion au fait que cette maladie touche largement les femmes : 83% contre 17% des hommes. Cependant, je ne peux pas m'empêcher de remarquer qu'une maladie considérée comme typiquement "féminine" (que deviennent les 17% d'hommes alors ?) est également une maladie encore mal comprise de la médecine.
Le Dr Michel Lantéri-Minet, chef du département de la douleur au CHU de Nice, expliquait récemment au Parisien : "La migraine est l'une des plus complexes maladies neurologiques, à tort présentée comme une fausse pathologie féminine ! Elle est d'autant plus difficile à gérer qu'elle est très sensible aux changements d'état. Or, nous passons notre temps à vivre ces changements."
"C'est peut-être juste psychologique"
Comme ma mère était migraineuse, il y avait donc des "chances" que je le sois aussi. J'ai quand même passé quelques examens médicaux histoire d'être sûre que mes crises ne cachaient pas un problème plus grave. Les scanners n'ont rien révélé d'alarmant.
Les médecins n'étaient pas inquiets le moins du monde. J'ai même eu droit un jour à un "vous savez, la migraine c'est parfois psychologique". Ah d'accord ! Donc en fait, "c'est juste dans la tête ?". Sauf que justement, je suis bien placée pour savoir ce qui se passe dans ma boîte crânienne et je peux vous assurer que cela n'a rien d'une douleur fantôme.
"J'ai fini par développer une accoutumance aux médicaments"
Finalement, je suis allée au plus simple : on m'a prescrit des médicaments assez puissants que je prenais dès que la douleur apparaissait. Cette méthode a fonctionné pendant quelques années, et j'ai pu retrouver une vie à peu près normale, c'est-à-dire que je manquais moins les cours et que je posais moins de lapins à mes ami·es.
Mais plus tard, aux alentours de 20 ans, je me suis rendue compte que j'avais développé une accoutumance à ces médicaments. Parfois, il m'arrivait de prendre un cachet tous les jours. Curieusement, c'était souvent à la même heure que la douleur arrivait. Et surtout, ce n'était pas les mêmes migraines (car oui, toutes les migraines ne sont pas identiques). Je me suis donc demandée si ce n'était pas lié aux médicaments, d'autant plus qu'elles étaient devenues bien plus fréquentes.
Après quelques jours difficiles, j'ai constaté que mes crises étaient beaucoup plus espacées. J'ai appris plus tard que je souffrais de ce qu'on appelle "migraines par abus médicamenteux." Retour à la case départ donc, puisque mes migraines de base elles étaient toujours là.
J'ai ensuite découvert les centres anti-migraine. J'y ai reçu des conseils précieux sur les nombreux facteurs potentiels et les choses à faire pour améliorer mon quotidien : faire plus de sport, boire beaucoup d'eau, adapter mon alimentation, éviter l'alcool. Dire que j'ai suivi ces conseils à la lettre ne serait toutefois pas tout à fait honnête. J'étais en plein dans la vingtaine, étudiante. Et comme on dit, il faut bien que jeunesse se passe.
"J'ai survécu à des soirées en faisant mine que tout allait bien"
Et puis je suis entrée dans la vie active. Là, le problème est devenu bien plus gênant. J'ai fait des choses dont je ne me serais pas crue capable : soucieuse de faire bonne impression, je me suis retrouvée à travailler huit heures d'affilée en faisant des passages réguliers aux toilettes pour vomir. Un peu comme un lendemain de soirée bien arrosée, sauf que la veille vous n'avez rien fait de spécial. Et que la douleur est en fait bien pire que celle d'une "simple" gueule de bois.
Mais que faire quand vous avez mal et que vous commencez un nouveau job ? Ou que vos proches commencent à vous en vouloir d'annuler un peu trop souvent vos rendez-vous ? Au final, je me rends compte que cette capacité insoupçonnée n'a pas nécessairement joué en ma faveur. Passée championne en la matière, j'ai "survécu" à des soirées ou à des journées de boulot en faisant mine que tout allait bien. Mais dans ma tête, c'était le chaos.
Résultat : quand je n'avais vraiment pas la force, on me prenait moins au sérieux : "Souviens-toi la dernière fois, t'avais vraiment mal, et pourtant t'as réussi à venir". Un jour, je me suis dit "À quoi bon ? Si la personne en face ne me croit pas, je n'ai aucune obligation de lui prouver, puisque après tout je sais que j'ai vraiment mal." J'ai donc décidé de me ménager.
"Mes migraines sont liées à mes règles"
Aujourd'hui, j'ai 30 ans, et je me porte bien mieux. Grâce à une meilleure hygiène de vie, une activité physique plus régulière et une alimentation équilibrée, mes crises se font plus rares. Même si ces derniers temps, j'en subis une par mois.
Heureusement, je suis parvenue à identifier le problème et après une énième batterie de tests passés cet été, je pense (du moins je l'espère) avoir enfin trouvé un traitement adapté, avec zéro risque de retomber dans l'abus médicamenteux.
J'ai découvert que mes migraines étaient provoquées par un dérèglement hormonal lié à mes règles (dans le jargon médical, on appelle cela des migraines cataméniales). Il m'a fallu du temps, être à l'écoute de mon corps et, bien sûr, une expertise médicale pour le comprendre. Ce n'est pourtant pas faute d'avoir consulté à plusieurs reprises auparavant.
La migraine fait l'objet d'une "blague" sexiste
Je suis devenue beaucoup moins tolérante envers celles et ceux qui osent encore prétendre que la migraine, c'est quand même un peu psychologique, voire pire : que "c'est un truc de chieuse". Si, si j'ai déjà entendu ce type d'énormité.
Et même si je suis de nature à rire de tout (ou presque), je dois reconnaître que mon statut de migraineuse et ma conscience féministe me font voir un peu rouge quand j'entends parler de la fameuse excuse de la migraine pour évoquer une femme qui n'est pas d'humeur à faire l'amour avec son partenaire.
En plus d'être sexiste, ce cliché sous-entend que la migraine n'est pas si terrible et qu'il s'agit d'un faux prétexte pour se dérober au lit. Mais je peux vous assurer qu'on a franchement pas envie de s'envoyer en l'air quand on est en pleine crise migraineuse. Ni de quoique soit d'autre d'ailleurs.

8 aliments surprenants pouvant ballonner

8 aliments surprenants qui peuvent nous ballonner
Les burgers, les sucreries et les glaces, surtout en grande quantité, on se doute bien que notre estomac ne va pas forcément les apprécier. Mais les salades, le café ou l'eau gazeuse peuvent aussi être à l'origine de ballonnements.
Ce midi, vous avez bien profité du brunch à volonté et de ses délicieux pancakes au chocolat fondu. Depuis, vous vous sentez un peu ballonnée et votre estomac ne vous remercie pas. En même temps, en trop mangeant, vous étiez prévenue.
Mais figurez-vous que certains aliments surprenants peuvent malmener notre système digestif, sans que l'on puisse s'en douter. "Attention, car ce que tolère l'intestin d'une personne peut varier d'une personne à l'autre", explique Kelly Schmidt, diététicienne, au site Women's Health.
Oui, les salades et les légumes peuvent vous faire gonfler l'estomac. Il est important de savoir quoi et quand manger, pour se sentir le mieux possible. Par exemple, si vous devez faire une présentation en public, il serait dommage de vous sentir ballonnée.
En revanche, si vous voulez rester chez vous tranquillement, libre à vous de sortir le pop-corn au caramel. De toute façon, les ballonnements se résorbent d'eux-mêmes le matin.
Cependant, voici les aliments surprenants à éviter si vous ne voulez pas vous sentir mal à l'aise.
Les chewing-gums sans sucres
Vous vous demandez comment une si petite collation peut provoquer des ballonnements ? Et bien c'est tout simple, puisque "c'est à cause des alcools de sucre", comme l'explique Ashvini Mashru, spécialiste.
"Les alcools de sucre, qui sont une forme de glucides qui ne sont pas très bien digérés par notre organisme et qui sont une cause fréquente de maux d'estomac", ajoute-t-elle. En effet, lorsque les alcools de sucre rencontrent des bactéries dans nos intestins, ils fermentent, libérant ainsi des gaz, ce qui peut entraîner des ballonnements, des crampes et des douleurs.
L'eau gazeuse
Il était difficile d'y penser, mais oui, l'eau gazeuse peut faire gonfler notre ventre. Evidemment, les boissons sucrées et pétillantes peuvent créer des ballonnements, à cause du sucre. Mais les bulles toutes seules peuvent aussi être un facteur de crampes d'estomac.
Pour déterminer si vous êtes sensible à l'eau gazeuse, mangez le même repas avec une fois de l'eau plate, une autre fois de l'eau gazeuse et enfin une autre fois avec de l'eau pétillante sucrée et évaluez les différences.
L'ail
L'ail est un exemple d'aliment à éliminer du régime FODMAP, c'est-à-dire qu'il est mal absorbé par le sang, voire pas du tout. Du coup, il cause des problèmes au tube digestif car ils sont fermentés par des bactéries et provoquent ainsi des gaz.
La prochaine fois que vous mangez de l'ail, vérifiez comment votre corps réagit. Peut-être que cela ne vous le fera pas à chaque fois et que votre corps supportera très bien l'ail.
Le pop-corn
Le pop-corn n'est rien d'autre que du maïs soufflé et malheureusement, il peut provoquer des ballonnements à cause de son volume. Une portion équivaut à trois ou quatre tasses, de la taille de trois ou quatre balles de tennis. Cette grande portion ne contient que la même quantité de glucides qu'une tranche de pain, mais elle va prendre beaucoup plus de place dans votre estomac, ce qui peut donner l'impression que votre estomac est gonflé.
Les grosses salades
Celle-là, on ne s'y attendait pas. On pensait que les salades étaient idéales pour remplir sainement notre estomac, sans que l'on souffre du moindre ballonnement. Et pourtant, celles-ci pourraient avoir l'effet inverse.
Tout comme le pop-corn, les grosses salades peuvent vous faire souffrir à cause de leur gros volume. Ensuite, le chou, les champignons et les oignons sont des aliments qui ont du mal à être digérés par l'organisme. Faites attention lorsque vous commandez une grosse salade au restaurant.
Le café
Si vous souffrez d'intolérance au lactose, vous savez que vous ne pouvez pas consommer de café au lait ou de latte. Mais le café noir peut aussi déclencher des douleurs d'estomac et des ballonnements.
"Il est acide et si vous avez l'estomac fragile, le café peut être irritant et provoquer un gonflement immédiat", indique la spécialiste Cynthia Sass. Et si vous ajoutez du sucre ou de l'édulcorant, l'effet peut être décuplé.
Le lait
Le lait, aussi bon soit-il pour notre organisme et pour nos os, peut être plus dangereux pour notre estomac. Beaucoup de personnes sont intolérantes au lactose, au lactosérum et à la caséine, et dans ce cas, un lait sans lactose peut ne pas suffire.
Vous pouvez toujours consommer du lait d'amandes, du lait de noix de coco ou du lait de soja, par exemple.
La bière
On le sait, la bière fait gonfler notre ventre. Si vous ne tolérez pas les protéines ou les pesticides contenus dans le blé ou les céréales utilisées dans la bière, votre organisme va réagir à chaque fois que vous allez en boire. Cette réaction excessive pourra déclencher des gonflements et des ballonnements.
Si c'est votre cas, n'hésitez pas à passer à un autre alcool comme la tequila, par exemple.

10 minutes de sport par jour pour booster la mémoire

10 minutes de sport par jour pourraient booster notre mémoire
On fait généralement du sport parce qu'on aime ça, pour se dépenser, pour garder la forme ou pour prendre soin de son corps. Il faudrait maintenant en faire un peu tous les jours pour booster nos capacités mentales et améliorer notre mémoire. On tente ?
On ne cesse de dire que la mémoire fonctionne comme un muscle. Pour l'améliorer, il faudrait ainsi la faire travailler régulièrement, comme un entraînement quotidien.
Et bien figurez-vous que la métaphore irait encore plus loin, puisqu'une récente étude démontre qu'une petite séance de sport tous les jours pourrait booster notre mémoire.
Faire du sport pour améliorer notre mémoire
Selon les scientifiques de l'Université de Californie, dix minutes d'exercices par jour pourraient "stimuler la connectivité cérébrale et aider le cerveau à distinguer les souvenirs similaires".
L'étude, publiée sur le site Proceedings of the National Academy of Sciences, a principalement étudié l'effet des sports doux sur la mémoire, comme le yoga, par exemple. Les chercheurs ont analysé les réactions de 36 volontaires.
Après chaque séance, les participants ont passé un test de mémoire, qui consistait à se rappeler certaines images d'objets du quotidien. Ils devaient ensuite refaire le test, sans avoir pratiqué de sport auparavant.
"Nous avons utilisé des objets très similaires, pour voir si les personnes se souvenaient de l'objet ou des détails de l'objet", explique l'un des chercheurs, Michael Yassa, au site Guardian.
Ainsi, les personnes ayant fait du sport avaient une meilleure connexion entre l'hippocampe (région primordiale du cerveau pour le stockage de la mémoire et l'apprentissage) et les zones corticales, qui sont impliquées dans le souvenir. Les scientifiques ont découvert que ces personnes arrivaient mieux à distinguer leurs différents souvenirs.
Comment améliorer sa mémoire grâce au sport ?
"Une simple promenade en soirée serait suffisante pour obtenir des bienfaits sur notre mémoire", indique le chercheur Michael Yassa. Il ajoute cependant que certains facteurs sont à prendre en compte pour déterminer la fréquence et la quantité nécessaire d'exercices à faire, comme l'âge, le niveau de mobilité, un handicap ou encore le mode de vie.
Comme l'explique le site Bustle, l'Université de la Colombie Britannique a également effectué des tests en 2014 pour déterminer si le sport pouvait avoir des effets sur la mémoire. Et en effet, ces travaux ont montré que des séances d'aérobic pouvaient augmenter le volume de notre hippocampe.
Cependant, les recherches montrent bien que tous les sports n'ont pas forcément cet effet : "les exercices de résistance, d'équilibre et de tonification musculaire n'ont pas le même impact que les sports doux", précise Heidi Godman, autrice principale de l'étude.
Il faudrait donc privilégier des sports comme le yoga ou la marche. Dans tous les cas, la pratique d'une activité physique permet d'apaiser son esprit, de se dépenser et ainsi d'éliminer le stress et les angoisses. Alors, pourquoi s'abstenir ?

Je saigne après une relation sexuelle : c'est grave ?

Je saigne après une relation sexuelle : c'est grave ?
Après une relation sexuelle, il arrive que l'on constate quelques saignements imprévus. Rassurez-vous, ces symptômes peuvent être bénins mais par sécurité, mieux vaut tout connaître sur les saignements post-coïtaux.
Vous n'avez pas vos règles et ce n'est pas votre première fois. Pourtant, après (ou pendant) l'amour, vous venez de constater un saignement inattendu. Même si cela peut vous surprendre (ou vous effrayer), il peut y avoir une explication totalement bénigne.
La plupart des saignements sont relativement normaux. Évidemment, pour en être certaine, la meilleure chose à faire est de consulter votre gynécologue et d'en discuter avec lui. Mais voici d'abord tout ce que vous devez savoir sur les saignements post-coït.
C'est quoi les saignements post-coïtaux ?
Tout d'abord, vous devez être consciente que la majorité des femmes peuvent connaître ce phénomène à un moment de leur vie donc vous êtes loin d'être la seule. Ensuite, il existe diverses raisons à ce type de saignements. Par exemple, vous pouvez souffrir de sécheresse vaginale ou de légères lésions sur les parois de votre vagin.
Généralement, ces petits dommages sont causés par un accouchement ou des relations sexuelles très fréquentes. Dans ce cas, vous devriez utiliser du lubrifiant et essayer des rapports plus doux, pour voir si les saignements s'atténuent.
Dans certains cas, cependant, le sang peut être révélateur de problèmes de santé plus graves, comme par exemple une infection, une maladie inflammatoire ou une MST, selon le National Health Service ou le système national de santé anglais.
Cela peut également signifier que votre vagin ou votre utérus présente des irritations plus importantes.
Que faire en cas de saignement post-coïtal ?
Si vous constatez des saignements, la première chose que vous devez faire, c'est de déterminer la cause de ce phénomène. Évitez de paniquer, cela ne sert à rien. Vous devez aussi vous demander si vous avez mal quelque part, si cela peut être lié à une blessure quelconque ou si vous ne ressentez rien.
"Il est important de trouver la cause du saignement avant de mettre en oeuvre un plan de prévention", explique Neeraj Kohli, gynécologue, au site Bustle.
"S'il s'agit d'une blessure ou d'un traumatisme, les mesures préventives peuvent inclure de tester une nouvelle lubrification lors des rapports sexuelsou d'essayer de nouvelles positions. Si le saignement persiste, il est alors conseillé de consulter un médecin pour un examen approfondi", ajoute le spécialiste.
Si vos saignements ne sont pas abondants et sont bénins, vous pouvez continuer à avoir des relations sexuelles normales. Veillez cependant à vous protéger, puisque le sang des plaies ouvertes peuvent augmenter la transmission des MST ou du SIDA.

8 très bonnes raisons de faire une cure de ginseng

8 très bonnes raisons de faire une cure de ginseng
Le ginseng est une plante dotée de multiples effets. Il permettrait de diminuer le stress, de lutter contre certaines maladies mais aussi de booster vos capacités mentales. Alors, prête à adopter ce nouvel aliment magique ?
Connaissez-vous le ginseng ? Cette plante vivace a été découverte en Chine il y a plus de 5000 ans, comme l'explique le site My Domaine. Aujourd'hui, elle serait utilisée en médecine pour ses nombreux bienfaits et pour ses effets bénéfiques sur notre santé et notre organisme.
Tout comme le curcuma ou le cumin, cette plante pourrait bien devenir le nouveau super aliment, à consommer sans modération pour booster notre système immunitaire et notre bien-être. Si le ginseng peut prendre la forme d'une plante verte, à petites baies rouges, c'est principalement sa racine que l'on broie pour obtenir une poudre à incorporer dans un thé, une soupe ou dans des comprimés.
Attention, il existe cependant plus de dix espèces différentes de ginseng. Si elles possèdent toutes des effets bénéfiques pour notre organisme, mieux vaut les sélectionner en fonction de leurs spécificités.
Le ginseng apaise
Que ce soit au niveau émotionnel, professionnel ou familial, il nous arrive d'avoir des coups de mou. À force, la baisse de moral peut prendre le dessus sur notre quotidien. Le ginseng aide à calmer nos crises et à rester détendue.
Selon une étude effectuée en 2010 sur 30 volontaires par l'Université de Northhumbria aux Etats-Unis, une dose de 200 ml de ginseng permettrait d'éviter les baisses de moral et une dose de 400 ml pourrait apaiser notre esprit.

Le ginseng aide à perdre du poids
La consommation de ginseng pourrait aider à perdre du poids. Ainsi, selon une étude réalisée en 2002 par l'Université de Chicago, certains actifs présents dans le ginseng pourraient stopper l'accumulation de glucose dans les cellules graisseuses et ainsi favoriser la perte de poids.
Ces recherches, élaborées sur des souris, ont également démontré que le ginseng permettait de diminuer le taux de glycémie.
Le ginseng booste le système immunitaire
Avec l'hiver qui arrive, mieux vaut prévenir des coups de froid et de certains virus. Le ginseng est excellent pour booster notre système immunitaire et pour décupler ses effets protecteurs.
En effet, il permet d'augmenter la production de certaines cellules et d'autres composés anti-microbiens, qui luttent généralement contre la prolifération de bactéries néfastes.
Le ginseng peut prévenir de certains cancers
Le ginseng serait capable de ralentir la croissance de certaines tumeurs, agissant ainsi comme un traitement naturel.
Ainsi, une étude effectuée par un chercheur américain démontre que l'utilisation d'extraits de ginseng pouvait diminuer la croissance d'un cancer colorectal.

Le ginseng favorise les capacités mentales
Cette plante pourrait être efficace pour booster le fonctionnement de notre cerveau. Il pourrait décupler son énergie et ainsi améliorer la concentration et la mémoire.
Il serait donc efficace lors d'une période d'examen ou d'apprentissage mais aussi pour aider certaines personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer.

Le ginseng aide à réduire le stress
Ses propriétés anti-stress permettent d'éviter les crises d'angoisse ou les crises de panique.
Selon une étude américaine effectuée sur des rats, la consommation de ginseng diminuerait le stress chronique ainsi que les risques d'ulcères. Encore une fois, il serait donc excellent en période d'examen ou de concours.

Le ginseng est un anti-inflammatoire
Après un choc physique ou une grosse séance de sport, vos muscles peuvent être endoloris. Le ginseng serait excellent pour vous soulager puisqu'il pourrait réduire les inflammations.

Le ginseng soigne les dysfonctions sexuelles
Contrairement au gingembre, le ginseng n'est pas un aliment aphrodisiaque. Cependant, il contiendrait des propriétés spécifiques, notamment pour soigner les problèmes d'érection chez les hommes.